HYDRAVIONS D'ALERTE DANS L'AVANT-PORT.
La marine Française, en 1910, achète son premier avion et charge le commandant Daveluy de créer l'Aéronavale.
Le 2/8/1914, la marine possédait 9 aviateurs, 14 hydravions (8 à Toulon, 4 à Bizerte, 2 sur le croiseur La FOUDRE) et 200 personnes affectées à ce matériel.
Le 9/5/1916, le ministre de la marine demande que l'on trouve un site entre l'embouchure de la Loire et de la Gironde pour installer un Centre d'Aviation Maritime.
Le 6/6/1916, la proposition du LV Hautefeuille, désignant La Pallice, est acceptée.
Le 29/6/1916, l'EV1 Pouyer prend ses fonctions au CAM de La Pallice.
Les 
de La Pallice.
Les 
de La Pallice.
Les 
durant la grande guerre.
Quelques 
des Hydravions pendant le conflit.
Le manque d'autonomie des 3 premiers hydravions Donnet-Denhaut de 150 cv rend évident la création de PC (poste de combat) à Hourtin et Cazaux et de PR (poste de reconnaissance) à Arcachon, aux Sables d'Olonne et au Verdon.
La zone de surveillance des hydravions de La Pallice s'étendra du Croisic à Arcachon.
Eté 1916, l'effectif passe à 100 hydravions, les porte-hydravions Nord et Pas de Calais relâchent au port de La Pallice et Bordeaux.
Le 11/11/1918, la marine française comptait 1264 hydravions dont 870 opérationnels avec un effectif de 11000 personnes pour 32 centres d'aviation et 21 postes de combat.
Une autre photo d'
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Hydravions d'alerte dans l'avant-port de La Pallice, derrière nous apercevons la jetée sud et l'entrée du port sur la droite. Leurs tâches étaient de rechercher les sous-marins Allemands afin de les éloigner du port, ils effectuaient des missions jusqu'à 60 milles des côtes.
